28 avril 2008
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Ne crois pas que je t'aime
parce que je le dis cent fois
mes mots hurlent aussi, et tu peines
à recoller les éclats, tu saignes
ne crois pas
à mes mains sur ta peau, qui se promènent
mais déchirent aussi, tu sais cela
ne t'attarde pas
au plaisir partagé à l'abandon etc...
les moments ne font une vie, pas à pas,
qu'assemblés, sinon les secondes sont vaines
alors ne les écoute pas
s'accorder à ton coeur qui t'enchaîne
à cet amour plus grand que toi et moi
qui grandit encore dans nos veines
les sentiments, ça n'explique pas
à quoi ils tiennent
ça n'explique rien, ça entraîne
puis ça lâche, ça se joue de toi
du verre de ton coeur en miettes, sirènes
sale jeu, même s'il te rend heureuse méfie-toi
Ne crois pas même
à mes yeux qui trahissent... ne regarde pas
ces larmes ne prouvent que le vent qui les draine
mon regard est colère aussi, souviens-toi
quand je t'enlace les mêmes ombres sont là
quand tu m'embrasses le temps ne freine
nous ne trichons pas, la vie si, mais voilà
m'aimeras-tu autant lorsqu'elle sera sérieuse ?
m'aimeras-tu toujours ? Peur de ne pas
être en tout celui que tu crois
peur du jour où tu n'y croiras plus
alors arrête-là
ou continue, je ne sais plus
viens dans mes bras, serre-moi
dans ton souffle j'en saurai plus...
parce que je le dis cent fois
mes mots hurlent aussi, et tu peines
à recoller les éclats, tu saignes
ne crois pas
à mes mains sur ta peau, qui se promènent
mais déchirent aussi, tu sais cela
ne t'attarde pas
au plaisir partagé à l'abandon etc...
les moments ne font une vie, pas à pas,
qu'assemblés, sinon les secondes sont vaines
alors ne les écoute pas
s'accorder à ton coeur qui t'enchaîne
à cet amour plus grand que toi et moi
qui grandit encore dans nos veines
les sentiments, ça n'explique pas
à quoi ils tiennent
ça n'explique rien, ça entraîne
puis ça lâche, ça se joue de toi
du verre de ton coeur en miettes, sirènes
sale jeu, même s'il te rend heureuse méfie-toi
Ne crois pas même
à mes yeux qui trahissent... ne regarde pas
ces larmes ne prouvent que le vent qui les draine
mon regard est colère aussi, souviens-toi
quand je t'enlace les mêmes ombres sont là
quand tu m'embrasses le temps ne freine
nous ne trichons pas, la vie si, mais voilà
m'aimeras-tu autant lorsqu'elle sera sérieuse ?
m'aimeras-tu toujours ? Peur de ne pas
être en tout celui que tu crois
peur du jour où tu n'y croiras plus
alors arrête-là
ou continue, je ne sais plus
viens dans mes bras, serre-moi
dans ton souffle j'en saurai plus...