7 décembre 2006
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Des rages mal contenues, risibles car si futiles,
Mots mariés au hasard, ne voulant plus rien dire,
Trop d'idées défendues, et d'une voix malhabile,
Cohérence en retard ? Sans elle pourtant, agir.
Forme et style travaillé, mais ce n'est plus digeste
Trop d'images convenues, de contresens, lourdeurs
Superflu en colliers, épurés il ne reste
Que trop peu de vertus, nul plaisir ni bonheur.
Et pourtant pas un signe ni un seul souffle ici
Qui soit à renier, ce sont mon sang mes pas,
Ni une seule ligne qui n'aille vers le but défini
Je ne peux reculer, je suis où je le dois.
Le doute seul me répète, que rien ne fera taire,
D'une encre acidifiée, que c'est encore raté.
Alors sonnent les trompettes, résonnent les rires. Amer :
Mais rester éveillé
Et puis recommencer
Pour demain achever l'ascension entamée,
Moins seul à ce sommet mais plus libre avant tout
Pas plus proche il est vrai de La Seule Vérité
Mais de quêtes si élevées je n'aurais pas le goût
Pour demain achever avec vous le chemin,
S'il plait à vos paroles de m'y accompagner,
S'il plaisait au passé de s'effacer enfin,
Qu'à de moins mornes atolls je puisse aussi rêver,
Que mêmes pas mêmes sols, tous les jours clones parfaits
"Seule voie" ô camisole, clôturée de regrets
Où même le rock'n'roll n'est plus ce qu'il paraît :
La différence isole, répudie ... disparaît.
Mots mariés au hasard, ne voulant plus rien dire,
Trop d'idées défendues, et d'une voix malhabile,
Cohérence en retard ? Sans elle pourtant, agir.
Forme et style travaillé, mais ce n'est plus digeste
Trop d'images convenues, de contresens, lourdeurs
Superflu en colliers, épurés il ne reste
Que trop peu de vertus, nul plaisir ni bonheur.
Et pourtant pas un signe ni un seul souffle ici
Qui soit à renier, ce sont mon sang mes pas,
Ni une seule ligne qui n'aille vers le but défini
Je ne peux reculer, je suis où je le dois.
Le doute seul me répète, que rien ne fera taire,
D'une encre acidifiée, que c'est encore raté.
Alors sonnent les trompettes, résonnent les rires. Amer :
Mais rester éveillé
Et puis recommencer
Pour demain achever l'ascension entamée,
Moins seul à ce sommet mais plus libre avant tout
Pas plus proche il est vrai de La Seule Vérité
Mais de quêtes si élevées je n'aurais pas le goût
Pour demain achever avec vous le chemin,
S'il plait à vos paroles de m'y accompagner,
S'il plaisait au passé de s'effacer enfin,
Qu'à de moins mornes atolls je puisse aussi rêver,
Que mêmes pas mêmes sols, tous les jours clones parfaits
"Seule voie" ô camisole, clôturée de regrets
Où même le rock'n'roll n'est plus ce qu'il paraît :
La différence isole, répudie ... disparaît.