6 juin 2006
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Les couleurs s'articulent autour
De notre ciel
Le noir nie n'en être une, et tel
Force un perpétuel
Contre-jour
A l'image de la vivifiante asphyxie
Notre passion, comme ils la diront pour nous
Qui passe tour à tour par toutes les couleurs du dégoût
Avant de se souvenir, à tes genoux,
De la nécessité de sa vie
Avant de recoller au bonheur d'être
Et de nous y inclure entiers
Les couleurs qui s'articulent ne cessent d'explorer
Plus beaux arcs-en-ciel, où je ne puis que t'admirer
Car qu'importe à la fin les artifices pour paraître
Toi seule toi seule aura compté.
Une fois en place la palette s'anime d'elle-même
L'esprit libre je m'abandonne au reflet
De tes yeux dans la mémoire, toute la conscience que j'en avais
Ce que les miens leur disaient
Dans ces silences d'apparences où prend tout son poids que l'on aime
Et nous aimions nous aimer, nous aimons toujours
Vivement l'heure, d'ailleurs, de ne plus tant le dire
Nous n'en finissons d'avoir plus à offrir
Que ces mots volages où s'accrochent des rires
Epouvantables, rires désespérés de vautours
Au delà il y a plus absolu à respirer
Plus essentiel. Nous n'ignorons rien
De la beauté en son écrin
Du goût merveilleux du moindre morceau de pain
Trempé dans l'eau qui nous aura reflété.
C'est un tableau achevé qu'effleure un regard
Mais tout un monde y demeure en mouvement
Seul le cadre ne changera, le cadre, et l'éclat en
La moindre image le plus innocent
Des baisers, le moindre soir
Le futur s'articule
En un ballet sans fin en notre ciel
Seuls les rêves y sont réels
Les rêves, et un désir à nous si fidèle
Un désir ... et le noir recule
Devant la perfection.
De notre ciel
Le noir nie n'en être une, et tel
Force un perpétuel
Contre-jour
A l'image de la vivifiante asphyxie
Notre passion, comme ils la diront pour nous
Qui passe tour à tour par toutes les couleurs du dégoût
Avant de se souvenir, à tes genoux,
De la nécessité de sa vie
Avant de recoller au bonheur d'être
Et de nous y inclure entiers
Les couleurs qui s'articulent ne cessent d'explorer
Plus beaux arcs-en-ciel, où je ne puis que t'admirer
Car qu'importe à la fin les artifices pour paraître
Toi seule toi seule aura compté.
Une fois en place la palette s'anime d'elle-même
L'esprit libre je m'abandonne au reflet
De tes yeux dans la mémoire, toute la conscience que j'en avais
Ce que les miens leur disaient
Dans ces silences d'apparences où prend tout son poids que l'on aime
Et nous aimions nous aimer, nous aimons toujours
Vivement l'heure, d'ailleurs, de ne plus tant le dire
Nous n'en finissons d'avoir plus à offrir
Que ces mots volages où s'accrochent des rires
Epouvantables, rires désespérés de vautours
Au delà il y a plus absolu à respirer
Plus essentiel. Nous n'ignorons rien
De la beauté en son écrin
Du goût merveilleux du moindre morceau de pain
Trempé dans l'eau qui nous aura reflété.
C'est un tableau achevé qu'effleure un regard
Mais tout un monde y demeure en mouvement
Seul le cadre ne changera, le cadre, et l'éclat en
La moindre image le plus innocent
Des baisers, le moindre soir
Le futur s'articule
En un ballet sans fin en notre ciel
Seuls les rêves y sont réels
Les rêves, et un désir à nous si fidèle
Un désir ... et le noir recule
Devant la perfection.