7 novembre 2006
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17:35
Entre nous, tanguant
trop d'amour, sûrement,
pour le concentrer en un point
recommencement ou fin
trop d'amour pour le résumer
à un seul sens du balancier
Et tu danses, et je te suis
des rires aux larmes, tout nous réunit
du sang aux âmes, les vérités
comment pourraient-elles s'effacer
d'un mot comme de cent ?
Trop d'amour, bien trop grand
entre nous il suffira toujours
d'un regard pour en refaire le tour,
d'un seul geste pour nier
que le mouvement, du mauvais côté,
se soit arrêté
Et toujours, quand l'amour est immense,
les coeurs balancent
sur la corde tendue
entre le sol et les nues,
destin et errance,
toujours le chemin s'invente sans qu'on le pense
d'un souffle à l'autre, prolongé
par trop d'amour sûrement, mais juste assez
d'envie qu'il vive au creux de nous,
d'un souffle à l'autre, moi à tes genoux,
prolongé d'un jour encore, un beau jour
qui vaut bien tous les détours,
les ombres traversées,
les ruptures effleurées dépassées
les déchirures dans l'écorce
tout le flot des douleurs qui renforcent
sans quoi le bonheur ne serait rien
qu'un mot en son écrin, éteint...
Tu es là, et je n'en regrette aucune.
Bonne fortune :
de la douleur naît une fleur, en nos coeurs
qui attend son heure...
- et s'aimer, résister
s'aimer, ne pas cesser... -
... au gré du balancier...
trop d'amour, sûrement,
pour le concentrer en un point
recommencement ou fin
trop d'amour pour le résumer
à un seul sens du balancier
Et tu danses, et je te suis
des rires aux larmes, tout nous réunit
du sang aux âmes, les vérités
comment pourraient-elles s'effacer
d'un mot comme de cent ?
Trop d'amour, bien trop grand
entre nous il suffira toujours
d'un regard pour en refaire le tour,
d'un seul geste pour nier
que le mouvement, du mauvais côté,
se soit arrêté
Et toujours, quand l'amour est immense,
les coeurs balancent
sur la corde tendue
entre le sol et les nues,
destin et errance,
toujours le chemin s'invente sans qu'on le pense
d'un souffle à l'autre, prolongé
par trop d'amour sûrement, mais juste assez
d'envie qu'il vive au creux de nous,
d'un souffle à l'autre, moi à tes genoux,
prolongé d'un jour encore, un beau jour
qui vaut bien tous les détours,
les ombres traversées,
les ruptures effleurées dépassées
les déchirures dans l'écorce
tout le flot des douleurs qui renforcent
sans quoi le bonheur ne serait rien
qu'un mot en son écrin, éteint...
Tu es là, et je n'en regrette aucune.
Bonne fortune :
de la douleur naît une fleur, en nos coeurs
qui attend son heure...
- et s'aimer, résister
s'aimer, ne pas cesser... -
... au gré du balancier...