9 juin 2006
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Ce qu'il faudrait dire
Et ce qu'il faudrait taire, souvent
Comme les deux faces d'une même
Evidence coupable
Barrant l'essentiel
De toute sa faible profondeur et
Niant même les regrets
Qu'elle voudrait faire naître
Rien de si neuf en cela
Rien d'appris pourtant, et souvent
Souffrir juste d'avoir cru
Le devoir
A chercher dans des yeux
Absents l'énergie dont
Nous manque le courage
Il est des erreurs nécessaires, pas toutes
Et la source qui n'en est une
Pour elle, tout se dire
Puis tout se taire, souvent
A jamais puisque rien n'allume
La flamme mieux que le temps
Et le froid où l'on cru la perdre
Rien n'explose en nous
Que très tranquillement d'abord, rien
Ne trouble tant l'ordre des choses
Que le conformisme
Et rien qui soit acquis
Ni la persistance ni
L'oubli
Ni les crimes variables
Tout reste à écrire depuis
Le début tant que la fin
N'a pas tourné la page
Vouloir fort ce que l'on n'aurait osé rêver
Seule logique qui soit
Où ce qu'il faudrait dire
Et ce qu'il faudrait taire, souvent,
Deux mains comme soudées,
Complètent une image
Dont le vide un jour
Oublie même le nom
Pour y laisser seul
Un autre océan
Que jamais les torrents n'auraient cru
Avant de se croiser
Où même la vie s'efface
Parce qu'il y a mieux à faire
Que juste vivre
Où tout le vain compte
Où tu sais qui nous sommes
Depuis Demain.
Et ce qu'il faudrait taire, souvent
Comme les deux faces d'une même
Evidence coupable
Barrant l'essentiel
De toute sa faible profondeur et
Niant même les regrets
Qu'elle voudrait faire naître
Rien de si neuf en cela
Rien d'appris pourtant, et souvent
Souffrir juste d'avoir cru
Le devoir
A chercher dans des yeux
Absents l'énergie dont
Nous manque le courage
Il est des erreurs nécessaires, pas toutes
Et la source qui n'en est une
Pour elle, tout se dire
Puis tout se taire, souvent
A jamais puisque rien n'allume
La flamme mieux que le temps
Et le froid où l'on cru la perdre
Rien n'explose en nous
Que très tranquillement d'abord, rien
Ne trouble tant l'ordre des choses
Que le conformisme
Et rien qui soit acquis
Ni la persistance ni
L'oubli
Ni les crimes variables
Tout reste à écrire depuis
Le début tant que la fin
N'a pas tourné la page
Vouloir fort ce que l'on n'aurait osé rêver
Seule logique qui soit
Où ce qu'il faudrait dire
Et ce qu'il faudrait taire, souvent,
Deux mains comme soudées,
Complètent une image
Dont le vide un jour
Oublie même le nom
Pour y laisser seul
Un autre océan
Que jamais les torrents n'auraient cru
Avant de se croiser
Où même la vie s'efface
Parce qu'il y a mieux à faire
Que juste vivre
Où tout le vain compte
Où tu sais qui nous sommes
Depuis Demain.