9 juin 2006
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17:26
L'automne effeuille notre amour
Peu à peu
Dans ta voix le voilà silencieux
Au fil des jours
Quelque chose s'est endormi
Qu'il faudra bien enterrer
Et si machinalement nous oublions de changer
Nos mots qui sourient
A contre-temps
Il n'y en a plus
- Comment en douter quand on sait ce qui fut ? -
Que pour un ou deux souffles sûrement ...
L'automne, peu à peu
Nous gèle en prévision
L'hiver aura raison
Comme à chaque fin de jeu
De ce qui semblait le plus bleu
L'hiver égal à lui même
Et nous
Livrés debout
A nos anciennes chaînes ...
Peu à peu
Dans ta voix le voilà silencieux
Au fil des jours
Quelque chose s'est endormi
Qu'il faudra bien enterrer
Et si machinalement nous oublions de changer
Nos mots qui sourient
A contre-temps
Il n'y en a plus
- Comment en douter quand on sait ce qui fut ? -
Que pour un ou deux souffles sûrement ...
L'automne, peu à peu
Nous gèle en prévision
L'hiver aura raison
Comme à chaque fin de jeu
De ce qui semblait le plus bleu
L'hiver égal à lui même
Et nous
Livrés debout
A nos anciennes chaînes ...