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16 septembre 2007 7 16 /09 /septembre /2007 10:40
C'[est] peut-être cela, vivre...  des années à attendre une lettre ou l'été, la pluie ou l'amour.

A. Nora
"JF bien ss ts rapports"
un texte dont je ne peux que vous
recommander vivement la lecture
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commentaires

S
Souvent je me dis que le problème est là : "passer sa vie à attendre, est-ce vraiment vivre ?"Ne rien attendre et goûter le moment présent, le goûter ou le subir, mais être là n'est-ce pas plutôt cela vivre ? Je trouve qu'attendre est être dans l'imaginaire, le virtuel et on se prépare souvent à être déçu, ou alors, faire comme Scapin (dans les fourberies) s'attendre au pire pour avoir de temps en temps de bonnes surprises mais les petits bonheurs quotidiens  sont volatilisés, alors.
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M
je suis plutôt dans la catégorie "s'attendre au pire".Si tu ne croyais pas tout au fond de toi que tu as encore de bonnes choses à vivre, p-e pas demain mais un jour, quel serait le sens de vivre ? L'espoir est une attente floue mais réelle. L'absence d'attentes, d'espoirs, n'est qu'un état transitoire vite comblé par le désespoir... et qui pousse au pire. Vivre au présent sans rien attendre ni espérer c'est pédaler le nez dans le guidon sans regarder la route. Un dangereux pile ou face. Possible quand on est en ligne droite... mais on n'est jamais à l'abri d'une (mauvaise) surprise...
P
bon courage
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M
Je sais ce que c'est, j'ai réussi l'exploit de perdre 15 ans... Et j'ai bien du mal à m'accrocher à ce qui est important pour moi... Mes proches attendant que je "fasse mon devoir"...
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M
oui, tout à fait çason devoir, en tant que fils, en tant qu'adulte qui se doit d'être organisé et responsable, en tant que chômeur, et j'en passe...son devoir, jamais ses droits et aspirations...je cherche encore le moyen de tout concilier. Mais en dernière analyse je ne ferai plus aucune concession sur ce que je veux accomplir. Trop de choses auxquelles il m'a fallu renoncer jusqu'ici. Je ne reculerai plus.Merci pour ces discussions en commentaires... bonne nuit à toi :-)
M
dans ce cas, il faut persévérer (je ne dis pas que c'est facile)... Je crois savoir beaucoup de grandes réussites ont commencé de cette façon
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M
on en arrive dans ces cas-là à ne plus tenter de construire de projets avec personne, à n'agir que pour soi, par rapport à ses envies, les seules choses dont personne ne peut décider à notre place, qui ne peuvent pas échouer "à cause des circonstances" mais uniquement si on n'y met pas assez d'énergie. Mais à ce moment-là (comme par hasard) l'extérieur te sollicite, tentant de te voler le temps dont tu as besoin pour construire tes projets... tentant de te forcer à ne faire de projets que dans le cadre "acceptable", la société... c-a-d avec les autres, dans le jeu normal, et surtout pas ce dont tu rêves, qui est forcément "irréaliste"... bref, pas simple...
M
je ne suis pas convaincue que la poisse existe vraiment, à part pour des choses telles que le décès d'un proche, une longue maladie... Pour le reste bien souvent, ce sont les conséquences de nos décisions, des choses que l'on a faites ou non... Même si parfois on peut avoir l'impression d'être dans une série noire.
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M
on peut tout faire parfaitement bien, mais tomber au mauvais moment, dans de mauvaises circonstances, pour les autres personnes liées à la situation. Et donc ce que l'on tente ratera sans que cela soit notre faute et sans que ça ait pu être prévu à l'avance. Juste par un concours de circonstances. Quand ça se répête assez souvent quand tu entreprends quelque chose, c'est ce que j'appelle "avoir la poisse".