26 décembre 2005
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Elle est rentrée vers 17h00. Moi, j’étais déjà là depuis un moment, et pour tout dire, je ne l’attendais pas si tôt. Je savais ses habitudes, elle n’était jamais là avant 19 heures. Il a justement fallu qu’elle bouleverse ses plans aujourd’hui.
Pas le temps de me cacher évidemment. Nez à nez, la belle blonde du 5ème et le cambrioleur. Souriez ! Clic clac.
Elle, son sac à la main, terrorisée.
Moi, au premier coup d’œil, déjà conquis, paralysé.
Elle, déjà, se ressaisit.
Moi, toujours perturbé… trop belle.
Elle, un revolver en main. Sorti de son sac ? La tuile.
- Ne bougez pas !
- Je n’ai pas d’arme, mademoiselle… ne tirez pas !
- Je ne tirerai pas si vous ne bougez pas… bien … je vais appeler la police
Oui mais, problème, on appelle comment la police avec une main occupée par un revolver ?
Bon perdant, je lui proposai mon aide. Je n’ai de toute façon jamais su résister aux femmes.
Je sortis lentement mon téléphone portable, et appelai les secours pour elle.
Ebahie, elle baissa son arme. Mais je décidai de ne pas fuir, pas cette fois.
Quand la police arriva, nous parlions tranquillement depuis … j’aurais dit une éternité. Elle riait à mes histoires. Je la trouvais de plus en plus irrésistible.
Je m’apprêtais à partir quand elle annonça aux agents que c’était une erreur.
Elle ferma la porte, se retourna et sourit.
Cela fait trois mois maintenant. Depuis, nous ne nous sommes plus quittés.
Pas le temps de me cacher évidemment. Nez à nez, la belle blonde du 5ème et le cambrioleur. Souriez ! Clic clac.
Elle, son sac à la main, terrorisée.
Moi, au premier coup d’œil, déjà conquis, paralysé.
Elle, déjà, se ressaisit.
Moi, toujours perturbé… trop belle.
Elle, un revolver en main. Sorti de son sac ? La tuile.
- Ne bougez pas !
- Je n’ai pas d’arme, mademoiselle… ne tirez pas !
- Je ne tirerai pas si vous ne bougez pas… bien … je vais appeler la police
Oui mais, problème, on appelle comment la police avec une main occupée par un revolver ?
Bon perdant, je lui proposai mon aide. Je n’ai de toute façon jamais su résister aux femmes.
Je sortis lentement mon téléphone portable, et appelai les secours pour elle.
Ebahie, elle baissa son arme. Mais je décidai de ne pas fuir, pas cette fois.
Quand la police arriva, nous parlions tranquillement depuis … j’aurais dit une éternité. Elle riait à mes histoires. Je la trouvais de plus en plus irrésistible.
Je m’apprêtais à partir quand elle annonça aux agents que c’était une erreur.
Elle ferma la porte, se retourna et sourit.
Cela fait trois mois maintenant. Depuis, nous ne nous sommes plus quittés.