9 juin 2006
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17:08
Et l'air s'agite en tout sens
Qui s'échappe contre mon gré
De mes poumons, à la limite de l'asphyxie
Cette absence qui n'en finit pas
Cette noyade sans mer pour
Echouer les regards au moins,
Au loin de la mémoire
Où tu me poursuis
Où je ne te fuis pas
Et l'air brûle à ma place
Mais je le sens quand même
Il m'enveloppe et hurle comme je te sais
Endormie dans une autre vie loin
De nous
Il s'agite. Je n'avance pas.
Tous les jours se ressemblent
Quelque part il en est un qui sait
Qu'il n'en suivra pas le troupeau
C'est en lui que je nous retrouve
Lui que je cherche
J'inspire et me dissous
La nuit endort tout.
Mais tout n'est qu'illusion
Reste au cœur, comme un tourbillon involontaire
De l'air qui s'agite, et
La mémoire ...
La nuit n'est jamais assez noire ...
Qui s'échappe contre mon gré
De mes poumons, à la limite de l'asphyxie
Cette absence qui n'en finit pas
Cette noyade sans mer pour
Echouer les regards au moins,
Au loin de la mémoire
Où tu me poursuis
Où je ne te fuis pas
Et l'air brûle à ma place
Mais je le sens quand même
Il m'enveloppe et hurle comme je te sais
Endormie dans une autre vie loin
De nous
Il s'agite. Je n'avance pas.
Tous les jours se ressemblent
Quelque part il en est un qui sait
Qu'il n'en suivra pas le troupeau
C'est en lui que je nous retrouve
Lui que je cherche
J'inspire et me dissous
La nuit endort tout.
Mais tout n'est qu'illusion
Reste au cœur, comme un tourbillon involontaire
De l'air qui s'agite, et
La mémoire ...
La nuit n'est jamais assez noire ...