1 juin 2000
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Il y avait une musique, morte soudain
Avant le dernier mouvement
Et quelque chose comme une cinquième saison dont en son temps
Vivaldi n'aurait su comment
Trouver le refrain
Comme des vers de Rimbaud
Immortalisés enfin, permanence
Quelque chose désormais mène la danse
De très beau très intense
Mais noir, désespérance, éclat du faux
Et de moins en moins d'amour sensible au creux de nos errances.
Il y avait le paradis ou presque. Désormais
Comme les restes du fruit défendu qui pourriraient entre nous
Même nos sourires mènent au dégoût
Et les mots à rien du tout
A l'heure d'être pendus, je ne sais
Si le miracle qui nous délivrerait
Est encore possible
Abîmé en cette douleur quasi risible
Il paraît que moi seul commanderait à ce qui nous crible
Il paraît que ce n'est que folie ma folie il paraît
Comme tu ne dis rien c'est sûrement vrai …
Il y avait une musique, je donnerais tant
Pour l'entendre encore résonner
Te souviens-tu que nous devions-nous aimer
A son rythme à tout en oublier
Jusqu'à la fin des temps ?
Te souviens-tu dis-moi, nos rêves sont flous
Si quelque part l'équilibre existe toujours
J'ai besoin de toi pour en refaire le tour
Si ton cœur n'est pas finalement devenu sourd
Si ce n'était pas vrai que j'aie tout gommé de nous …
Avant le dernier mouvement
Et quelque chose comme une cinquième saison dont en son temps
Vivaldi n'aurait su comment
Trouver le refrain
Comme des vers de Rimbaud
Immortalisés enfin, permanence
Quelque chose désormais mène la danse
De très beau très intense
Mais noir, désespérance, éclat du faux
Et de moins en moins d'amour sensible au creux de nos errances.
Il y avait le paradis ou presque. Désormais
Comme les restes du fruit défendu qui pourriraient entre nous
Même nos sourires mènent au dégoût
Et les mots à rien du tout
A l'heure d'être pendus, je ne sais
Si le miracle qui nous délivrerait
Est encore possible
Abîmé en cette douleur quasi risible
Il paraît que moi seul commanderait à ce qui nous crible
Il paraît que ce n'est que folie ma folie il paraît
Comme tu ne dis rien c'est sûrement vrai …
Il y avait une musique, je donnerais tant
Pour l'entendre encore résonner
Te souviens-tu que nous devions-nous aimer
A son rythme à tout en oublier
Jusqu'à la fin des temps ?
Te souviens-tu dis-moi, nos rêves sont flous
Si quelque part l'équilibre existe toujours
J'ai besoin de toi pour en refaire le tour
Si ton cœur n'est pas finalement devenu sourd
Si ce n'était pas vrai que j'aie tout gommé de nous …