13 mai 2000
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Partition délirante
Nous rêvions le passage plus haut qu'il ne fallait
L'interdit pèse, mais l'idéal valait
Bien qu'en nos âmes se tendent
Désirs incontrôlés d'avant l'union divine
Mais quel crime est-ce, aimer déjà l'autre qui
Joindra sa voix au chant pour faire taire la pluie
Quel crime nos corps déjà qui s'inclinent ?
Demain l'alliance, et tout sera pardonné.
Dire ou pas ce que cette chaleur fut
Et le sablier d'inconscience
Tous les grains comptés, partage volé à la chance
Taire ou pas la passion qui crût
Ces vagues que nulle lune ne gouverne
Ces absences contrôlées
Et la prémonition, au delà, de devoir oublier
Mais de ne pouvoir ainsi mettre nos sangs en berne
Partition délirante
Mais la raison l'exigeait pour renier aux cris
Le pouvoir de rompre le sortilège avant La Nuit
Aimante
Avant de pouvoir n'être qu'un comme nous étions trente
En nos théâtres et monologues confondus
La raison savait mais ne nous disait plus
De peur que l'on entende
Sombre contraire à nouveau, ce que désespoir grime
Alors elle nous guida presque malgré nous
Et nul regret ne vint après coup
Même si parfois le cœur se comprime
D'y repenser sans cesse
Soif seulement de nos gestes
Jour béni où ils seront permis.
Nous rêvions le passage plus haut qu'il ne fallait
L'interdit pèse, mais l'idéal valait
Bien qu'en nos âmes se tendent
Désirs incontrôlés d'avant l'union divine
Mais quel crime est-ce, aimer déjà l'autre qui
Joindra sa voix au chant pour faire taire la pluie
Quel crime nos corps déjà qui s'inclinent ?
Demain l'alliance, et tout sera pardonné.
Dire ou pas ce que cette chaleur fut
Et le sablier d'inconscience
Tous les grains comptés, partage volé à la chance
Taire ou pas la passion qui crût
Ces vagues que nulle lune ne gouverne
Ces absences contrôlées
Et la prémonition, au delà, de devoir oublier
Mais de ne pouvoir ainsi mettre nos sangs en berne
Partition délirante
Mais la raison l'exigeait pour renier aux cris
Le pouvoir de rompre le sortilège avant La Nuit
Aimante
Avant de pouvoir n'être qu'un comme nous étions trente
En nos théâtres et monologues confondus
La raison savait mais ne nous disait plus
De peur que l'on entende
Sombre contraire à nouveau, ce que désespoir grime
Alors elle nous guida presque malgré nous
Et nul regret ne vint après coup
Même si parfois le cœur se comprime
D'y repenser sans cesse
Soif seulement de nos gestes
Jour béni où ils seront permis.