10 juin 2006
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A la poursuite d'hier
Nous épuisons peu à peu
La force l'envie et le feu
D'être amoureux. Reste une poussière
Qui retombe toujours dans
L'ordre contraire des aspirations
Manteau d'illusions
Comme il fait froid dedans
Quand on n'y croit plus
Comme brûlent aussi les espoirs anciens
A ne plus oser regarder droit
Devant, ne plus oser réfléchir aux choix
Que laissent notre Destin
De peur qu'il n'y en aie plus qu'un
De peur de s'y perdre corps et bien.
A la poursuite d'hier
C'est après nous que nous courons
Mais nous sommes déjà loin, là où vont
Les prières
Non entendues
Nous sommes déjà
Sans nos mains pour se dire où l'on va
Complètement perdus
Et l'on n'y croit plus
Mais ne pas le dire, de peur
De devoir se réveiller
Atrocement séparés
Plus par les heures
Les mois
Que par les kilomètres
Trop séparés peut-être
Jusqu'à
Ne plus pouvoir le nier, jusqu'à
Ce premier pas dans l'idée
De ne jamais
Se revoir ici-bas.
Personne ne sait pour nous
Des voix s'élevent parfois pour soutenir
Nous savons déjà ce qu'il y a à retenir
Dans ces mots, tout le fou
Mais parfois il vaudrait mieux ne pas tant savoir
Les choses que les vivre et
Surtout ne pas penser
Parfois il faudrait protéger de nos mémoires
'
De nos consciences les lendemains
Et continuer malgré tout à les rêver, nos mains
Même si ce n'est plus possible de rêver tout à fait
Même si nous sommes au delà de ce point insensé
Même si nous savons que jamais rien
N'est facile dès que les chemins
Sont trop opposés ...
Parfois il faudrait quand même l'oublier
Pour quelques pas de bonheur furtif
Pour tenir, l'amour vif
Etre encore capable au bout d'exister
De se manquer ...
A la poursuite d'hier, rien à trouver
Sauf une certaine image de deux
Fous furieux
Que la vie a changé
Presque remis dans le rang
Rien à trouver, alors visons demain
Et peut-être, si enfin ...
Mais ne rêvons pas trop blanc ...
Nous épuisons peu à peu
La force l'envie et le feu
D'être amoureux. Reste une poussière
Qui retombe toujours dans
L'ordre contraire des aspirations
Manteau d'illusions
Comme il fait froid dedans
Quand on n'y croit plus
Comme brûlent aussi les espoirs anciens
A ne plus oser regarder droit
Devant, ne plus oser réfléchir aux choix
Que laissent notre Destin
De peur qu'il n'y en aie plus qu'un
De peur de s'y perdre corps et bien.
A la poursuite d'hier
C'est après nous que nous courons
Mais nous sommes déjà loin, là où vont
Les prières
Non entendues
Nous sommes déjà
Sans nos mains pour se dire où l'on va
Complètement perdus
Et l'on n'y croit plus
Mais ne pas le dire, de peur
De devoir se réveiller
Atrocement séparés
Plus par les heures
Les mois
Que par les kilomètres
Trop séparés peut-être
Jusqu'à
Ne plus pouvoir le nier, jusqu'à
Ce premier pas dans l'idée
De ne jamais
Se revoir ici-bas.
Personne ne sait pour nous
Des voix s'élevent parfois pour soutenir
Nous savons déjà ce qu'il y a à retenir
Dans ces mots, tout le fou
Mais parfois il vaudrait mieux ne pas tant savoir
Les choses que les vivre et
Surtout ne pas penser
Parfois il faudrait protéger de nos mémoires
'
De nos consciences les lendemains
Et continuer malgré tout à les rêver, nos mains
Même si ce n'est plus possible de rêver tout à fait
Même si nous sommes au delà de ce point insensé
Même si nous savons que jamais rien
N'est facile dès que les chemins
Sont trop opposés ...
Parfois il faudrait quand même l'oublier
Pour quelques pas de bonheur furtif
Pour tenir, l'amour vif
Etre encore capable au bout d'exister
De se manquer ...
A la poursuite d'hier, rien à trouver
Sauf une certaine image de deux
Fous furieux
Que la vie a changé
Presque remis dans le rang
Rien à trouver, alors visons demain
Et peut-être, si enfin ...
Mais ne rêvons pas trop blanc ...