10 juin 2006
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A dériver, plus ou moins secrètement
Selon que tu regardes ou pas, selon
Que j'en souffre ou pas, à errer sans buts
Ou presque
A en chercher un qu'un jour j'avais
A être là, pour qui, pour quoi ?
- En tout cas pas pour moi, mais là
N'est plus la question -
A garder le silence quand j'aurais tant à dire, parfois
Je sens que c'est là, tout prêt, presque
Assez prêt pour toucher du doigt
Enfin retoucher de plein fouet
Ton absence
Quand j'aurais voulu que ce soit ton corps, encore
A ces pas désordonnés, trouver comme fin la même douleur
Qu'avant, cette douleur rassurante
Fièvre amante
Je t'aime encore et ça te rend le sourire
Et ça me déchire, ou presque
L'instant d'après à nouveau je suis ailleurs
Et tu pleures.
Et la dérive continue, je ne veux plus jeter l'ancre
Tous les ports se ressemblent, avec ou sans toi
Peu importe ce que tu crois
Ou moi
Peu importe nos rêves
Plus rien ne me retient, plus rien ne nous protège
Juste par moments, un frôlement, presque
Mais trop immonde pour que je puisse tout oublier
Trop loin dans le passé
Dans une mémoire que tu as perdu pour moi
Une confiance qui flotte, là
Pas loin
A presque pouvoir la toucher, presque ...
Mais jamais assez ...
Au milieu de ça, je cherche encore
La route de l'oubli
Parfois je me demande quel en sera le prix
S'il nous faudra en finir aussi ...
Selon que tu regardes ou pas, selon
Que j'en souffre ou pas, à errer sans buts
Ou presque
A en chercher un qu'un jour j'avais
A être là, pour qui, pour quoi ?
- En tout cas pas pour moi, mais là
N'est plus la question -
A garder le silence quand j'aurais tant à dire, parfois
Je sens que c'est là, tout prêt, presque
Assez prêt pour toucher du doigt
Enfin retoucher de plein fouet
Ton absence
Quand j'aurais voulu que ce soit ton corps, encore
A ces pas désordonnés, trouver comme fin la même douleur
Qu'avant, cette douleur rassurante
Fièvre amante
Je t'aime encore et ça te rend le sourire
Et ça me déchire, ou presque
L'instant d'après à nouveau je suis ailleurs
Et tu pleures.
Et la dérive continue, je ne veux plus jeter l'ancre
Tous les ports se ressemblent, avec ou sans toi
Peu importe ce que tu crois
Ou moi
Peu importe nos rêves
Plus rien ne me retient, plus rien ne nous protège
Juste par moments, un frôlement, presque
Mais trop immonde pour que je puisse tout oublier
Trop loin dans le passé
Dans une mémoire que tu as perdu pour moi
Une confiance qui flotte, là
Pas loin
A presque pouvoir la toucher, presque ...
Mais jamais assez ...
Au milieu de ça, je cherche encore
La route de l'oubli
Parfois je me demande quel en sera le prix
S'il nous faudra en finir aussi ...