4 janvier 2007
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13:55
Respirer de l'or, et me sentir léger. Célébrer l'alchimie en baissant respectueusement la tête devant Sa Source. Plonger jusqu'à me perdre dans la transparence, qui me ramène instantanément à un regard. Je tourne la tête, et tu es là.
Les rêves sont bien faits.
Sirène silencieuse, mais pas moins attractive, je te suis dans les méandres scintillants de forêts où je me confond peu à peu avec Gulliver. Nous passons, mais la beauté en reste, comme une autre se superpose déjà. Bientôt, je ne sais plus où ni quand je suis, et ne m'attarde pas à cette logique extérieure. Tu es devant, et nous volons.
Tout va bien.
A bien y réfléchir, respirer ne me manque que pour le plaisir de retenir mon souffle devant toi. A défaut, je fais des bulles avec des pépites dedans. Pas encore assez doué pour y mettre des étoiles.Tu ris de bon coeur.
Nous valsons.
Et toujours plus haut nous volons, chute inversée. Icare nous comprendrait.
Le vol s'achève à la surface d'un baiser.
Des gouttes de lune jusque sous la peau, nous sêchons lentement, sans un mot de trop, juste une chorégraphie ancestrale. Un ballet pour les dauphins, qui au large applaudissent de leurs corps entrant et sortant de la mer.
Puis le ciel éteint ses lumières, pour ne pas déranger.
Je glisse de ton sommeil dans le mien. Le vent se pose sur nous et nous borde ...
Les rêves sont bien faits.
Sirène silencieuse, mais pas moins attractive, je te suis dans les méandres scintillants de forêts où je me confond peu à peu avec Gulliver. Nous passons, mais la beauté en reste, comme une autre se superpose déjà. Bientôt, je ne sais plus où ni quand je suis, et ne m'attarde pas à cette logique extérieure. Tu es devant, et nous volons.
Tout va bien.
A bien y réfléchir, respirer ne me manque que pour le plaisir de retenir mon souffle devant toi. A défaut, je fais des bulles avec des pépites dedans. Pas encore assez doué pour y mettre des étoiles.Tu ris de bon coeur.
Nous valsons.
Et toujours plus haut nous volons, chute inversée. Icare nous comprendrait.
Le vol s'achève à la surface d'un baiser.
Des gouttes de lune jusque sous la peau, nous sêchons lentement, sans un mot de trop, juste une chorégraphie ancestrale. Un ballet pour les dauphins, qui au large applaudissent de leurs corps entrant et sortant de la mer.
Puis le ciel éteint ses lumières, pour ne pas déranger.
Je glisse de ton sommeil dans le mien. Le vent se pose sur nous et nous borde ...
marlou 22/10/2008 21:02
Michel - Faux rêveur 23/10/2008 09:29
Derdre 19/01/2007 23:04
Faux rêveur 20/01/2007 00:22
chriscraft_ 07/01/2007 12:27
Faux rêveur 07/01/2007 16:03
bunny62 06/01/2007 17:17
Faux rêveur 06/01/2007 17:38
RiviÚre 06/01/2007 10:57
Faux rêveur 06/01/2007 11:13